Pourquoi faire appel à une agence de communication ?
Depuis plusieurs décennies, la visibilité et l’image de marque sont devenues les clés incontournables du succès des entreprises. Celles-ci ont donc adopté le réflexe de travailler avec des agences de communication pour renforcer leur notoriété et leur image, mais aussi se distinguer de la concurrence et vendre leurs produits. Les agences quant à elles ont fait l’effort d’étendre leurs compétences et de se spécialiser dans des domaines de plus en plus techniques tels que le référencement, le développement de sites e-commerce et d’applications, ou encore le webmarketing et l’animation de réseaux sociaux. De ce fait, les compétences des agences conseil en communication sont bien plus étendues aujourd’hui qu’elles ne l’étaient ne serait-ce qu’il y a 15 ans.
Les origines de ces transformations sont multiples. Depuis le début des années 2000 et la naissance de l’internet à l’économie, on vit progressivement se développer le e-commerce, qui en une dizaine d’années changea le visage de l’économie mondiale. Il y eut également l’apparition et le développement des réseaux et media sociaux. Les flux de données, augmentant en volume et en rapidité, firent croître les interactions entre les acteurs économiques, mais aussi les dépenses des entreprises.
Pour profiter du vecteur de croissance Internet et des opportunités engendrées par celui-ci, les entreprises durent investir sur plusieurs plans.
Tout d’abord consacrer du temps de veille, indispensable à la compréhension de ces évolutions et à leurs développements futurs ; puis des moyens humains et enfin, développer une stratégie en ligne. Ce ne fut pas toujours simple, car il faut reconnaître que les mutations successives d’Internet demandèrent aux agences un important investissement en formation, des temps d’ajustement et par conséquent une mobilisation importante de leurs équipes.
De plus, certains dispositifs, notamment sur les réseaux sociaux, ou sur le référencement payant étaient assez difficiles à gérer et à évaluer à leurs débuts, les agences ne savaient pas toujours avec certitude ce que rapporterait tel ou tel media dans le plan de communication proposé au client. Il fallut donc faire des essais et réajuster les dispositifs en fonction des résultats. Cette capacité à mesurer la pertinence et l’efficience de ce qui est produit est particulièrement importante dans un environnement commercial en constante évolution, où les entreprises ont besoin de rester agiles et de s’adapter rapidement aux changements du marché. C’est un des avantages de l’agence de communication.
Aujourd’hui les incertitudes sont dissipées, mais la complexité des dispositifs demeure. Elle s’est même accrue dans le cadre de certaines opérations. C’est le cas notamment du référencement dit SEA, souvent incontournable dans une stratégie de communication, qui nécessite des compétences très pointues et engage les entreprises à dépenser parfois des sommes rondelettes pour des rendements qui parfois ne sont pas à la hauteur des investissements réalisés.
Les entreprises se posent les questions suivantes :
« Peut-on, par nos propres moyens, développer des opérations de communication claires et efficaces ? Disposons-nous des outils et de l’expertise nécessaires à l’interprétation des résultats d’une campagne ? Disposons-nous des ressources humaines nécessaires pour mener de tels projets ? Ne vaut-il pas mieux investir dans une relation avec une agence de communication qui sera sans doute d’un meilleur rapport et nous permettra de nous concentrer sur l’essentiel, c’est-à-dire notre métier ? »
La réponse est limpide. Il est indispensable pour une PME d’être accompagnée par une agence qui délivrera son expertise, une vision claire des actions à engager et permettra à l’entreprise de générer de la valeur ajoutée.
Certes, l’agence doit être spécialisée dans les domaines les plus pointus pour offrir à ses clients la meilleure expertise possible, mais doit aussi faire preuve de réalisme et privilégier les intérêts de ses clients. L’agence doit savoir recommander les dispositifs de communication les mieux adaptés en dehors de tout a priori, de tout intérêt partisan.
Par exemple, une PME qui souhaiterait vendre des cadres décoratifs en ligne, n’aura aucun intérêt à s’engager dans une campagne de référencement payant. Il sera du devoir de l’agence de l’informer du niveau de concurrence très élevée sur ce type de produit. Effectivement, les plus gros acteurs tels que Leroy Merlin, Conforama, Castorama et quelques autres occupent déjà le haut des pages de résultats des moteurs de recherche, aussi bien sur les liens sponsorisés que sur les liens organiques. Il est illusoire de vouloir se glisser ne serait-ce que dans la première page de résultats, ou alors à des prix très élevés qui nécessiteraient de produire des volumes de cadres très importants et d’en vendre tout autant pour être rentable. Dans ce cas précis, certains réseaux sociaux (Instagram ou Facebook par exemple), via des influenceurs par exemple, et un système de vente hors ligne via des distributeurs sont plus adaptés.
A priori l’agence aura peu à gagner sur un dossier de ce type mais il est de son devoir de conseiller son client au mieux de ses intérêts. Enfin, les agences de communication peuvent offrir des services supplémentaires tels que la création de contenu, la production de vidéos, l’achat d’espaces publicitaires et le suivi d’impression. Ces services génèrent eux aussi de la valeur et peuvent difficilement être intégrés dans une PME, c’est pourquoi ils doivent être confiés à une agence également. En résumé, les agences de communication sont des partenaires précieux pour les entreprises qui cherchent à renforcer leur présence en ligne ou hors ligne, à atteindre un public cible et à améliorer leur image de marque. Elles ont accumulé au fil des années une expertise transversale et étendue ; elles ont une vision claire du marché de leur client et sont capables de proposer des dispositifs pointus répondant parfaitement aux attentes de ces derniers.
Les entreprises, qui sont confrontées à des marchés matures et de plus en plus concurrentiels, ne peuvent plus se permettre de communiquer par leurs propres moyens. Cela nécessite trop de temps, trop d’expertises et mobilise trop fortement les effectifs d’une PME. De plus les résultats obtenus risque d’être en deçà des attentes de leurs dirigeants. Une bonne agence conseil en communication prodiguera à ses clients des conseils éclairés. Soucieuse de leurs intérêts, elle les accompagnera sur le long terme et les fera progresser.
ChatGPT pour référencer un site internet. C’est possible, nous allons voir comment.
ChatGPT est un modèle de langage développé par OpenAI. Son objectif est de générer du texte en réponse aux questions des utilisateurs. Pour ce faire, il utilise les données qu’il a été formé à parcourir et assimiler et les retranscrit selon un process défini par les ingénieur d’OpenAI.
Il est conçu pour être utilisé dans divers contextes, tels que les chatbots, les assistants virtuels et les applications de génération de contenu. Il est aussi constamment entraîné et mis à jour pour améliorer ses capacités de compréhension du langage et de génération de texte.
Il est programmé pour sonder de vastes quantités de données textuelles provenant d’Internet et d’autres sources, telles que des livres, des articles de journaux et des sites web. Lors de ce processus, un algorithme de machine learning analyse les données explorées et apprend à identifier des modèles et des relations entre les mots, les phrases et les concepts.
Ainsi, lorsqu’on lui pose une question, il est capable de comprendre le sens sous-jacent de la demande en utilisant ces modèles et relations appris au cours de son entraînement. Il génère des réponses assez précises et bien ordonnées la plupart du temps. C’est assez impressionnant. Cependant, il arrive que des erreurs se glissent dans ses réponses. Il ne faut tout prendre pour argent compta évidemment.
ChatGPT a suffisamment de connaissance pour délivrer une information documentée. Ainsi, on peut s’en servir entre autre chose dans des domaines assez techniques tels que la construction de sites internet ou le référencement. ChatGPT pour référencer un site internet s’avère assez utile, si l’on fait abstraction des quelques erreurs ou approximations dans la rédaction des contenus.
On peut lui poser des questions assez générales ou plus techniques sur la façon de référencer un site internet par exemple en SEO, c’est à dire en référencement naturel ou non payant. Voici une première question possible.
« Explique-moi les SLUGS pour le référencement »
REPONSE DE CHATGPT
Les « slug » (ou fragments d’URL) peuvent avoir un impact important sur le référencement de votre site. Voici quelques conseils pour créer des slugs optimisés pour le référencement :
Utilisez des mots clés pertinents : Les slugs devraient inclure des mots clés pertinents pour la page en question, de manière à aider les moteurs de recherche à comprendre de quoi il s’agit.
Gardez-les courts et descriptifs : Les slugs devraient être courts et descriptifs, pour que les utilisateurs puissent rapidement comprendre de quoi il s’agit en les voyant dans leur barre d’adresse.
Évitez les caractères spéciaux : Évitez d’utiliser des caractères spéciaux, tels que des tirets bas ou des points, dans les slugs, car cela peut les rendre difficiles à lire pour les moteurs de recherche.
Utilisez des tirets pour séparer les mots : Utilisez des tirets pour séparer les mots dans les slugs, car cela les rend plus lisibles pour les moteurs de recherche. Voici quelques exemples de slugs optimisés pour le référencement : • pour une page sur les meilleurs restaurants de la ville : meilleurs-restaurants-ville • pour une page sur les conseils de jardinage : conseils-jardinage • pour une page sur les réparations de vélos : reparations-velos
En suivant ces conseils pour créer des slugs optimisés pour le référencement, vous devriez être en mesure de voir une amélioration de votre classement sur les moteurs de recherche.
Voici une autre question plus technique qui est utile au référencement d’un site. il s’agit de créer un fichier SITEMAP. C’est un fichier .txt ou .xml qui indique aux robots des référenceurs, tels que Google ou Bing, le contenu su site sous forme de carte ou SITEMAP.
« comment créer un SITEMAP pour mon site ? »
REPONSE DE CHATGPT
Il existe plusieurs façons de créer un SITEMAP pour votre site web. Voici trois méthodes courantes :
Utiliser un générateur de sitemap en ligne : Il existe de nombreux outils en ligne qui vous permettent de générer automatiquement un fichier sitemap à partir des pages de votre site. Vous n’avez qu’à entrer l’URL de votre site et le générateur s’occupera du reste.
Utiliser un plugin de sitemap pour votre CMS : Si vous utilisez un système de gestion de contenu (CMS) tel que WordPress, vous pouvez installer un plugin de sitemap pour générer automatiquement un sitemap pour votre site.
Créer manuellement votre sitemap : Si vous êtes à l’aise avec le code et les fichiers XML, vous pouvez créer manuellement votre sitemap en utilisant un éditeur de texte et en suivant les directives du format de sitemap standard. Vous pouvez trouver de nombreux exemples de sitemaps en ligne pour vous aider à démarrer.
Une fois que vous avez créé votre SITEMAP, vous pouvez le soumettre à Google Search Console ou à d’autres moteurs de recherche pour vous aider à indexer vos pages et améliorer la visibilité de votre site.
Et l’on peut même lui demander de nous indiquer comment faire en demandant de développer le point 3 de sa réponse.
« Développe le point 3 »
REPONSE DE CHATGPT
Pour créer manuellement un sitemap pour votre site web, vous devez suivre les étapes suivantes :
Créez un nouveau fichier texte et enregistrez-le avec l’extension « .xml »
Définissez l’en-tête du document en ajoutant les lignes suivantes au début du fichier :
<lastmod> est la date de dernière modification de la page (format YYYY-MM-DD).
<changefreq> est la fréquence de modification de la page (choisissez parmi : always, hourly, daily, weekly, monthly, yearly, never).
<priority> est la priorité de la page par rapport à d’autres pages sur votre site (un nombre compris entre 0.0 et 1.0).
Ajoutez autant d’entrées que nécessaire pour chaque page de votre site.
Fermez l’en-tête du document en ajoutant la ligne suivante à la fin du fichier :
</urlset>
Enregistrez le fichier sitemap et uploadez-le à la racine de votre site.
Soumettez votre sitemap à Google Search Console ou à d’autres moteurs de recherche pour les aider à indexer vos pages et à améliorer la visibilité de votre site.
Il est important de vérifier régulièrement le SITEMAP pour s’assurer qu’il est à jour et ne contient pas d’erreurs. Vous pouvez utiliser des validateurs en ligne pour vous aider à valider le format et la syntaxe de votre SITEMAP.
ChatGPT est parti du principe qu’il n’existe que le XML comme format possible de SITEMAP. Il oublit dans sa réponse de donner la recette pour créer un SITEMAP plus simple en version TXT. Dommage, cela nous aurait évité du travail. Mais sa réponse est détaillée et c’est déjà bien.
Notez que si la réponse en vous convient pas tout à fait, vous avez la possibilité de recharger la réponse qui sera différente ; une évolution de l’autre en quelque sorte.
Imaginons maintenant que votre entreprise soit spécialisée dans la pose de portails à Angers. Voici la question qui lui est posée et sa réponse est assez complète encore une fois.
« Donne-moi des mots-clés pour un site de pose de portail à Angers»
REPONSE DE CHATGPT
Voici une liste de mots-clés qui pourraient être pertinents pour un site web de pose de portail à Angers :
Pose de portail
Installation de portail
Portails sur mesure
Portails en aluminium
Portails en fer
Portails automatiques
Motorisation de portail
Réparation de portail
Entretien de portail
Tarifs de pose de portail
Conseils pour la pose de portail
Devis gratuit pour la pose de portail
Fabrication française de portails
Livraison et installation de portails à Angers
Garantie sur la pose de portail
Ces mots-clés peuvent vous aider à optimiser le contenu de votre site pour les moteurs de recherche et à attirer des clients potentiels intéressés par la pose de portails à Angers.
Vous remarquerez qu’il n’inclut pas le mot Angers, mais vous pouvez l’ajouter à la suite des phrases que vous retiendrez. Bien sûr, il est bon de soumettre ces mots-clés à SEMRUSH par exemple, pour vérifier s’ils sont pertinents pour le référencement dans votre secteur d’activité et secteur géographique.
En conclusion, il faut bien reconnaître que ChatGPT peut s’avérer être un assistant assez puissant qui permet de gagner beaucoup de temps puisqu’il évite des recherches en ligne fastidieuses dans tous les domaines, que ce soit les arts, les techniques, le social, l’entreprise, l’Histoire, etc.
Pour information, il existe une extension de ChatGPT pour Chrome. Je l’ai installé sur mon navigateur. Chose amusante, lorsqu’on demande à ChatGPT de nous indiquer l’adresse internet à laquelle on peut télécharger le plugin, l’IA répond qu’il n’existe pas :
REPONSE DE CHATGPT
« Je suis désolé, mais je ne suis pas disponible en tant que plugin pour Chrome. Je suis un modèle de langage développé par OpenAI et je peux être intégré à des applications via une API. Vous pouvez trouver plus d’informations sur mes fonctionnalités et sur la façon d’utiliser l’API OpenAI sur le site web de OpenAI. »
Google, qui règne sur le référencement depuis plus de 20 ans grâce à son moteur de recherche SEARCH, vient d’apporter une réponse nommée BARD. Cette IA est encore au stade des tests, mais elle peut déjà, selon Google, aider les internautes lors de l’achat d’un produit en mettant en avant ses point forts et ses points faibles (façon comparateur, rien de nouveau), proposer différents itinéraires pour un voyage (rien de nouveau non plus), ou encore, toujours selon Google « distiller des informations complexes et des perspectives multiples dans des formats faciles à digérer ». C’est un peu nébuleux, on attend de voir.
La firme Microsoft quant à elle, souhaite apparemment prendre du trafic à google. Elle a déclaré qu’elle intégrerait ChatGPT à son navigateur Edge. Il paraît que les dirigeants de Google étaient fous de bonheur à l’annonce de cette nouvelle.
La technologie blockchain Au-delà du bitcoin et des cryptos. On entend depuis quelques années parler de la blockchain, des crypto-monnaies ou encore de crypto-actifs. Les monnaies numériques sont régulièrement sur le devant de la scène, soit parce qu’elles enthousiasment les initiés toujours plus nombreux qui croient en ce nouvel Eldorado, soit parce qu’elles sont au cœur de scandales retentissants comme dernièrement l’affaire FTX, ex-deuxième plateforme de cryptos au monde. Celle-ci s’est effondrée en quelques jours, entraînant dans sa ruine, celle de nombreux détenteurs de cryptos et générant un creux de valorisation de l’ordre de 240 milliards de dollars sur les marchés éponyme.
Cependant, ce que le quidam perçoit de l’iceberg crypto est bien loin de couvrir ne serait-ce qu’un dixième de ce que représente déjà les crypto-monnaies dans le monde. La technologie blockchain et les cryptos, au-delà du bitcoin et de quelques monnaies-phares, ce ne sont pas que des actifs éthérés (parmi elles certaines ne sont que du vent cependant), dont les valorisations délirantes sont suivies de chutes retentissantes. Ce sont en réalité les futurs piliers de l’économie et de l’information dans le futur proche.
Le grand public ne connaît pour ainsi dire que le Bitcoin. Le Bitcoin, qui est à l’origine des crypto-monnaies, possède sa propre blockchain. Elle est basée sur un mécanisme de transaction appelé La « Proof-of-Work » (PoW), ou preuve de travail. C’est un système de validation et de sécurisation qui permet d’implémenter les transactions au sein de la blockchain, qui est en quelque sorte le canal par lequel transitent les données. Ces flux regroupent aussi bien de simples transactions de Bitcoins de gré à gré que la création monétaire de ces mêmes Bitcoins. Celles-ci nécessitent beaucoup de ressources pour fonctionner, ce qui engendre de nombreuses critiques à l’heure ou les ressources énergétiques sont comptées. D’autres système de validation sont en cours de développement comme la preuve d’enjeu ou « Proof of stake ». Ils sont moins gourmands en ressources, car la blockchain évolue sans cesse.
Il faut bien comprendre que la blockchain est une technologie qui vient se greffer à Internet, formant ainsi une version Web 3.0, c’est à dire une version étendue avec de nouvelles fonctionnalités. Le Web 3.0 est concrètement une évolution d’Internet dans laquelle viennent s’agréger « 2 couches supplémentaires » : les circuits économiques virtuels complexes liés à la blockchain, dont le « smart contract » (suite d’instructions codées dans les transactions) est la base, et la possession d’actifs numériques infalsifiables.
Jusqu’à présent sur le Web 2.0, on pouvait lire / écrite de nouveaux contenus et également interagir. Mais avec l’arrivée du 3.0, on ajoute un paramètre. Il s’agit de la possession de contenus propriétaires et inviolables. En d’autres termes, grâce à la technologie blockchain, vous devenez propriétaire des actifs que vous créez, que ce soient des images, des textes, des vidéos, des NFTs ou tout autre actif détenu, car tout cela est traçable et les données créées et échangées sont réputées inviolables.
Les usages sont multiples. Les plus avisés d’entre nous investissent déjà dans des actifs d’avant-garde comme l’immobilier crypto, qui n’est autre qu’une version actualisée de l’immobilier papier, communément appelé « pierre papier ».
Grâce aux « smart contacts » intégrés dans les transactions, vous pouvez par exemple acheter un jeton (actif numérique propre à une blockchain et échangeable) qui représente des parts d’immeuble. En effet, si vous divisez un immeuble en 100 parts ou jetons et que vous en détenez 10, vous encaisserez 10% des loyers perçus sur ce bien. En réalité, certainement moins de 10%, car les impôts exigeront que les développeurs blockchain ajoutent au « smart contract » quelques lignes de code qui prélèveront automatiquement à la source 1% ou plus de vos dividendes, bien entendu. Vous pouvez d’ailleurs acheter des parts de biens immobilier aux USA si vous le souhaitez, à partir de 50 $, à cette adresse https://realt.co/
On peut faire bien d’autres choses avec les « smart contracts » sur la blockchain. Les « smart contract » sont en fait des programmes conditionnels qui s’exécutent automatiquement. Pour schématiser, un « smart contract » s’exécute de la sorte :
Si la condition A se réalise, alors il exécute la réponse A+. Si elle ne se réalise pas, il exécute la réponse A-.
Pour un billet réservé pour assister à un concert, cela donnerait la chose suivante :
Si le concert a lieu (A) le billet est débité de votre compte (A+). Si le concert est annulé, le billet n’est pas débité de votre compte (A-)
Beaucoup de secteurs sont concernés par les « smart contracts ». en voici quelques uns :
Contrats d’assurance
Voyages (SNCF par exemple)
Locations
Nuits d’hôtel
Obsèques
Prêts et emprunts
Actes notariés (métamorphose du métier de Notaire)
Comptabilité (métamorphose du métier d’expert-comptable)
Les bulletins de salaire (disparition programmée des services paye dans les grandes entreprises)
Remises sur achats en ligne
Remises sur volume, etc.
De très grands groupes travaillent déjà avec des blockchain. C’est le cas de
Carrefour > IBM Food Trust et Hyperledger (traçabilité)
BMW > Coinweb et la BNB Chain (fidélisation client et webmarketing) Lien vers BMW Crypto
Comme vous le voyez, on est loin de l’image d’Épinal d’un univers crypto qui ne serait qu’un outil de spéculation et une arme aux mains de groupes mafieux qui s’en servent pour blanchir l’argent sale. La blockchain et les cryptos, ce sont les échanges et les moyens de communication dans l’économie de demain. Combien de personnes comprennent que ce monde en plein développement sera leur quotidien dans quelques années ? Pour l’instant très peu.
On perçoit toutefois les avantages d’une telle technologie. Rapidité d’exécution des « smart contracts », donc accélération de l’économie ; traçabilité des transactions, des matériaux et des produits ; inviolabilité ; résilience ; développement de nouveaux métiers, donc de nouvelles richesses ; couplage avec la robotique, ce qui permettra de développer de nouvelles constructions plus rapidement sur terre et dans l’espace et mettra fin à certaines tâches épuisantes pour les hommes, etc. C’est donc un tournant majeur dans l’évolution de l’humanité qui se dessine.
Mais on en perçoit aussi les inconvénients et ils sont de taille. Je n’en dis pas davantage, je les développerai dans un prochain article dédié aux « smart contracts », à l’évolution de l’univers crypto et aux questions éthiques et politiques qui vont se poser dans les décennies à venir dans ce contexte « métamorphique ».
Utilisez l’identité de marque pour vous différencier. Vous ne le regretterez pas. L’identité de marque est l’un des éléments les plus importants pour se différencier de la concurrence. C’est l’image globale que les clients et les prospects associent à votre entreprise, produit ou service. Il est donc crucial de créer une identité de marque forte pour se démarquer de vos concurrents.
La première étape pour utiliser l’identité de marque pour se différencier de la concurrence consiste à définir clairement ce que représente votre entreprise sur le marché. Cela inclut la définition de sa mission, de ses valeurs et son positionnement unique sur le marché. Une fois l’identité de la marque clairement définie, il est possible de communiquer de manière efficace à travers tous les canaux de marketing, y compris les réseaux sociaux, le site web, les publicités online, les relations presse et les évènements en direct.
Dans cette optique, la première étape consiste à différencier visuellement votre entreprise de la concurrence, en créant un logo et une charte graphique qui reflètent l’identité de marque de votre entreprise. Son logo doit être facilement reconnaissable et mémorisable. La charte graphique quant à elle permettra de décliner l’identité de marque de manière cohérente sur tous les supports de communication, ce qui renforcera l’identité globale de l’entreprise.
Un autre point important est l’expérience client. C’est un procédé porteur pour se différencier de la concurrence. Il est important de créer une expérience client unique qui reflète votre identité de marque et qui satisfasse les besoins de vos clients de manière marquante. Cela peut inclure la création d’un service client personnalisé, la mise en place d’un processus d’achat fluide et la création de contenu de qualité qui informent et divertissent vos clients. Consommer devient alors une expérience unique, à l’image de votre marque.
Enfin, il est important de suivre régulièrement les tendances et les évolutions du marché pour s’assurer que votre identité de marque reste pertinente et différenciante. Il est également important de surveiller les stratégies de marque de vos concurrents et de s’inspirer de leurs idées pour améliorer votre propre stratégie de marque.
En résumé, l’identité de marque est un élément-clé pour se différencier de la concurrence. En définissant clairement ce qu’est votre qu’entreprise et ce qu’elle apporte en plus que les autres n’apportent pas ; en communiquant efficacement son identité à travers tous les canaux de marketing ; en créant une expérience client unique et en suivant régulièrement les tendances du marché, vous pouvez créer une identité de marque forte et différenciante, qui attirera les clients et les prospects et valorisera votre entreprise, votre marque.
Cet article a été en partie écrit par chatGPT https://openai.com, une IA capable de créer des contenus à la volée de manière cohérente. Le prochain article portera sur ce système qui, paraît-il, fait peur à Google.
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